Le temps d'un week-end, Jours de Fête s'impose comme un événement convivial et familial. Concerts, spectacles de rue, cirques… autant de propositions pour s'évader, rêver dans le cadre exceptionnel du parc de La Bégraissière.
L'avis de la rédaction
C’est quoi ? Un festival « grandeurs nature ».
Pourquoi y aller ? Pour sa 6e édition, le festival herblinois bisannuel reste cette grande fête populaire, ouverte à tous les arts (du cirque, de la rue, de la danse, de la musique…) et tous les publics. Avec toujours ce petit grain de folie propre à l’événement, à l’instar de ses thématiques immanquablement surprenantes : après « l’appel de la jungle » il y a deux ans, place à « grandeurs nature » - oui oui, au pluriel – cette année.
Matthieu Chauveau
Du payant presque gratuit
C’est la grande nouveauté de cette édition, la soirée du vendredi sera exclusivement musicale, et payante. Pas de panique, le festival reste fidèle à sa philosophie (l’accessibilité à tous) en limitant l’entrée à 10 euros pour un programme hyper-éclectique de 4 concerts : funk electro avec General Elektriks, world music sans âge – ah si, 75 ans - avec Calypso Rose, pop littéraire stylée avec Radio Elvis et rock seventies relifté 2016 avec Ko Ko Mo.
Maboul programmation
“Des petits et grands enchantements, des spectacles intimistes et d’autres démesurés", c’est ce que nous promet l’équipe d’Onyx, toujours aux commandes de Jours de fête. Avec des compagnies nommées Thank you for coming, Maboul distorsion ou Le nom du titre (sic), on devine qu’il y en aura pour tous les goûts. Côté musique, les festivaliers devraient passer sans problème du punk bluesy de King Salami & the Cumberland 3 au freak blues de The Summer Rebellion.
Le public entre en scène
L’une des marques de fabrique de
Jours de fête, c’est aussi ses projets participatifs. Cette année, le collectif de plasticiens Parti Poétique présentera sa
Banque du miel, dont les deux ruches seront ouvertes au public. Autre projet à découvrir, la Chorale volante, constituée d’une centaine de volontaires qui répètent depuis novembre un « répertoire éphémère » avec l’artiste de la Cie Label Z, Babeth Joinet.