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Policier

Le Crime de l'Orient-Express

Le Crime de l'Orient-Express Policier
Le Crime de l'Orient-Express Policier
Le Crime de l'Orient-Express Policier
Le Crime de l'Orient-Express Policier

Le luxe et le calme d’un voyage en Orient Express est soudainement bouleversé par un meurtre. Les 13 passagers sont tous suspects et le fameux détective Hercule Poirot se lance dans une course contre la montre pour identifier l’assassin, avant qu’il ne frappe à nouveau. D’après le célèbre roman d’Agatha Christie.
De Kenneth Branagh, avec Kenneth Branagh, Johnny Depp, Michelle Pfeiffer, 1h54, USA

Horaires du 24 au 30 Avril

L'interview

L'interview

KENNETH BRANAGH

Après William Shakespeare, Kenneth Branagh s’attaque à un autre illustre auteur anglais, Agatha Christie. Une aventure qu’il va mener, une fois de plus, devant et derrière la caméra. Au résultat, c’est un divertissement aussi ingénieux qu’amusant servi par un casting trois étoiles.

" « Qui ment et qui dit la vérité ? » "

Qu’est-ce qui vous a donné envie de faire une nouvelle version du Crime de l’Orient Express ?
Mon défi était de présenter un nouvel Hercule Poirot, avec ses obsessions compulsives, mais aussi sa mélancolie, sa tristesse. Il a le poids de ce qu’il est, de son don finalement. Au début du film pour lui, il y a le bien et le mal, mais plus on avance vers le dénouement, plus on découvre qu’il y a une zone grise entre les deux ; on en arrive alors à ce code moral, à ce dilemme…
Jouer dans son propre film, c’est difficile?
Réalisateur et détective, c’est une combinaison parfaite. Hercule Poirot mène l’investigation, sonde les personnages, les convie là où il le souhaite pour les interroger, et bien c’est une sorte de mise en scène comme le fait le réalisateur. Tous les deux cherchent à savoir qui ment et qui dit la vérité, que ce soit pour les personnages ou pour les acteurs.
Pour incarner Hercule Poirot, faut-il impérativement porter la moustache ?
Oui, cette moustache c’est son masque, sa protection, son poste d’observation. Et pour une fois, je dirais que la taille, la taille de la moustache, ça compte !
Toute l’action se passe dans un seul lieu, le train. Comment l’avez-vous envisagé ?
Le huis clos permet le côté claustrophobe du drame, ça augmente la tension. C’est la beauté d’un espace confiné. Et c’était important que le public voie, ressente cette atmosphère. C’est pour ça que j’ai à la fois filmé l’intérieur, mais aussi l’extérieur du train. Je voulais qu’on sente les dangers comme celui du viaduc et du précipice. Il y a ce huis clos intérieur et, en même temps, on est aussi enfermé à l’extérieur par un environnement hostile. Cela offrait un vrai terrain de jeu pour provoquer la séduction, la diversion et le suspens.



Propos recueillis par Laurence Kempf
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