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Party Girl

Party Girl

Angélique a soixante ans. Elle aime encore la fête, elle aime encore les hommes. La nuit, pour gagner sa vie, elle les fait boire dans un cabaret à la frontière allemande. Avec le temps, les clients se font plus rares. Mais Michel, son habitué, est toujours amoureux d’elle. Un jour, il lui propose de l’épouser.
De Marie Amachoukeli, avec Angélique Litzenburger, 1h36, France

Horaires du 24 au 30 Avril

L'interview

L'interview

Party de campagne

En s’appuyant sur Forbach, court primé à Cannes et Clermont-Ferrand , Claire Burger, Marie Amachoukeli et Samuel Theis ont réussi leur passage au long avec Party Girl, Caméra d’or méritée au dernier Festival de Cannes. Rencontre avec la partie féminine de cet iceberg explorant de nouveaux territoires cinématographiques, entre réel et fiction.

Party Girl, c’est l’histoire d’Angélique, 60 ans, qui travaille dans un cabaret. Angélique, c’est aussi la mère de Samuel Theis qui signe avec vous ce premier film. Pourquoi avez-vous choisi l’angle de la fiction plutôt que celui du documentaire ?
Nous travaillons depuis longtemps de cette façon, entre le documentaire et la fiction. Nous avons voulu raconter une histoire et ce même si celle-ci s’inspire de la vie d’Angélique. La fiction nous permet de mettre des choses en valeur. Et ce qui serait plus difficile si nous filmions simplement le réel. 
Avez-vous dirigé Angélique comme une actrice ou comme une proche ?
Même si nous avons pu nous dire que c’était dangereux, nous avons écrit Party Girl pour Angélique. Nous nous sommes obligés d’être toujours au plus près de ce que nous imaginions être juste. Nous ne voulions pas envisager son rôle comme un personnage de fiction. Et très vite, sur le plateau, Angélique est devenue une actrice professionnelle. 
Vous êtes trois à signer le film. Comment vous êtes-vous répartis les tâches ?
On se connaît depuis 10 ans et il était hors de question que l’un ou l’autre prenne la main sur l’écriture, l’image ou le montage. Même si cette façon de faire nous a coûté beaucoup d’énergie, elle nous a finalement sauvés tant il y avait d’obstacles à affronter. Finalement, c’est le film qui a pris les décisions.



Propos recueillis par Arnaud Bénureau
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