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Danse

b.c, janvier 1545, fontainebleau

b.c, janvier 1545, fontainebleau Danse

Pour cette pièce, Christian Rizzo a imaginé un solo envoûtant, taillé sur mesure pour Julie Guibert, ancienne interprète du ballet de l’Opéra de Lyon, projeté l’espace, découpé par la nuit et des lumières pour travailler sur la dimension calligraphique de l’écriture. 

Calendrier Dates :
  • Jeudi 29 janvier 2015 à 21h00
  • Vendredi 30 janvier 2015 à 21h00
Localisation Lieu : TU-Nantes, Chemin de la Censive du Tertre
44300 Nantes
Prix : de 10 à 20€
Site web Site : lelieuunique.com
Avis rédaction

L'avis de la rédaction

C'est quoi ?
Un OCNI (objet chorégraphique non identifié), une proposition décoiffante de Christian Rizzo, née de sa rencontre, à Lyon, avec Julie Guibert, danseuse mutante venue du classique, balançant une poignée de pointes sur le bitume trop lisse à son goût de la célébrité.
Pourquoi y aller ?
Parce qu'une proposition de Christian Rizzo ne laisse jamais indifférent. Le chorégraphe s'appuie sur une interprête hors-pair et ses complices habituels (lumière et musique) pour un spectacle unique.

Vincent Braud
L'interview

L'interview

Le mouvement perpétuel

Le prochain directeur du Centre Chorégraphique National de Montpellier est cette saison, et la suivante, au cœur de Constellation, rendez-vous initié par le lieu unique et le TU-Nantes pour élargir les frontières de la danse. En attendant b.c, janvier 1545, fontainebleau, le chorégraphe nous parle de D’après une histoire vraie.

Vous allez prendre la direction du CCN de Montpellier. Qu’est-ce que cela vous inspire ?
Je me fais une joie d’écrire un nouvel épisode de ce CCN. C’est un enjeu de taille. Mais je suis content d’être là à ce moment-là. 
Quel regard portez-vous sur le chemin parcouru ?
Je regarde surtout le parcours qui reste à faire. Je vois à quel point mon écriture se précise. Mon engagement est toujours porté sur le monde qui m’entoure. J’ai envie de continuer de produire des formes afin d’essayer de le comprendre. 
D’après une histoire vraie prend ses racines à Istanbul…
Lorsqu’en 2013, le Festival d’Avignon me propose de faire une création, ce souvenir d’un groupe d’hommes que j’avais vu danser à Istanbul à la fin d’un spectacle a resurgi. Avais-je vraiment vu cette danse ? Ou étais-je encore habité par le vide laissé par ces danseurs qui avaient disparu aussi vite qu’ils étaient apparus ? Je suis parti sur ce chemin.
Pourquoi un tel titre ?
Je fais un travail abstrait. Malgré tout, derrière, il y a toujours une histoire. Il est important pour moi de le rappeler constamment. 
Votre groupe d’hommes est accompagné en live par deux batteurs. D’après une histoire vraie emprunte-t-il alors les chemins du rock ?
La question du rock est centrale pour moi. C’est sur ce terrain-là que j’ai posé mes fondations. Même dans le silence, le rock sera toujours présent.



propos recueillis par Arnaud Bénureau
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