Maintenant ou jamais
Un rêve de cirque s’installe près de l'éléphant, sous le chapiteau de la cie Circa Tsuica. Des super-héros à vélos, des portés élancés, des roues qui s’ébrouent mais aussi des cuivres qui tonitruent et des percussions qui… percutent. Ne manquez pas les inventions échevelées de ces acrobates musiciens ! ©IanGrandjean
- Vendredi 28 novembre 2014 à 20h00
- Samedi 29 novembre 2014 à 19h00
- Dimanche 30 novembre 2014 à 17h00
- Lundi 1 décembre 2014 à 20h00
- Mercredi 3 décembre 2014 à 20h00
- Jeudi 4 décembre 2014 à 20h00
- Vendredi 5 décembre 2014 à 20h00
- Samedi 6 décembre 2014 à 19h00
- Dimanche 7 décembre 2014 à 17h00
- Mercredi 10 décembre 2014 à 20h00
- Jeudi 11 décembre 2014 à 20h00
- Vendredi 12 décembre 2014 à 20h00
- Samedi 13 décembre 2014 à 19h00
- Dimanche 14 décembre 2014 à 17h00
- Mardi 16 décembre 2014 à 20h00
- Mercredi 17 décembre 2014 à 20h00
- Jeudi 18 décembre 2014 à 20h00
- Vendredi 19 décembre 2014 à 20h00
L'interview
Du 28 novembre jusqu’au 19 décembre, Circa Tsuica installe son chapiteau à l’ombre du Grand Éléphant. Le temps de 18 représentations, embarquez pour une “utopie festive, fanfaronne et familiale”. Rencontre avec Guillaume Dutrieux de cette compagnie tout en cirque et en musique.
Quel est le point de départ de Maintenant ou jamais ?
Nous voulions revivre l’expérience de chapiteau que nous avions connue avec Opus 2. Nous voulions que les spectateurs aient de nouveau les pieds sur la piste. Ça a été la première étincelle. La deuxième a été de partager avec eux nos deux passions : le cirque et la musique.
Pourquoi avoir articulé votre spectacle autour du vélo acrobatique ?
Nous sommes un collectif et le vélo est une discipline collective. Ça nous a charmés. Le vélo est idéal pour la piste et véhicule des symboles proches des gens. C’est un agrès populaire, accessible, simple et ce n’est pas une machine extraordinaire.
En quoi Maintenant ou jamais est-il interactif ?
On accueille les gens avec une petite bise. C’est symbolique, mais sincère. On les invite sur la piste afin de la désacraliser. Cette piste, elle est aussi à eux. Puis, on glisse de cet apéritif au spectacle pendant lequel l’interactivité est aussi présente.
Propos recueillis par Arnaud Bénureau