PARTICIPATION LIBRE Concert déambulatoire dans l’exposition Jean Mingam 1927-1987 par le duo Couleurs traversantes. Sarah Rodriguez (soprano colorature) et Paul Gil (flûte traversière) . Concert en partenariat avec le Pont Supérieur.
Avec son style impeccable et son analyse des failles de notre société, Haroun a cassé les codes de l'humour. Sur internet ses vidéos iconiques font des millions de vues. Après le succès incontesté de ses pasquinades, il est de retour sur scène avec son nouveau spectacle “Seuls”.
Lieu : La Cité des congrès - auditorium Descartes, nantes
Danse
Drumming (live) présenté par Angers Nantes Opéra
Sur la version live de Drumming de Steve Reich par l'ensemble Ictus, Anne Teresa De Keersmaeker signe une oeuvre où la construction géométrique fait chavirer la perception.
Artémis est une déesse libre qui impose ses choix de vie. Elle est une figure d'identification féminine forte, héroïne des temps modernes qui porte des revendications très actuelles.
En ce moment même, les plus grands noms du royaume de Faltazi font route vers la Fabrique à Impros. Au crépuscule du samedi 18 mars, ces dames et sieurs seront huit à fouler la scène pour revendiquer la couronne ! Au programme, une véritable soirée-spectacle en deux partie !
Lieu : Cité des Congrès de Nantes – Auditorium 800, Nantes
Danse
Ballet National de Pologne - Slask
Slask popularise le folklore polonais, en présentant les chants et les danses de toutes les régions de la Pologne. Ce qu’il y a de plus frappant, c’est le caractère spectaculaire, l’élan des danseurs et de la chorégraphie elle-même, la performance physique et la précision de l’exécution.
Un humour souvent décalé, qu’il faut parfois prendre au 3ème degré…
Sur scène, cette blonde trentenaire propose un show truculent dans lequel elle tourne en dérision les mésaventures de sa vie marquées par les addictions.
Aujourd’hui, qu’est-ce qui réunit Martin et Benoit Fournier ? Ils sont frères, c’est tout, et c’est déjà trop ! L’abandon, l’incompréhension, la perte des êtres chers… Tout y est. On sort de là avec l’envie farouche d’appeler ses frères et soeurs et de leur dire : «Je t’aime. Malgré tout, je t’aime.»