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Animation

Coco

Coco Animation
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Depuis déjà plusieurs générations, la musique est bannie dans la famille de Miguel. Un vrai déchirement pour le jeune garçon dont le rêve ultime est de devenir un musicien aussi accompli que son idole, Ernesto de la Cruz. Bien décidé à prouver son talent, Miguel, par un étrange concours de circonstances, se retrouve propulsé dans un endroit aussi étonnant que coloré : le Pays des Morts.
De Lee Unkrich, Adrian Molina, avec les voix de Andrea Santamaria, Ary Abittan, François-Xavier Demaison, 1h45, USA

Horaires du 24 au 30 Avril

Avis rédaction

L'avis de la rédaction

Rencontre avec Ary Abittan : « Pixar, c’est la version 2.0 de Disney »

« C’est vraiment unique : jeune acteur, on rêve autant de tourner avec De Niro que de faire un personnage de Disney. Et Pixar, c’est la version 2.0 de Disney ! Â» s’exclame Ary Abittan qui double Hector, un personnage que notre petit héros va rencontrer dans le royaume des morts, le fameux Dia de Muertos. Car oui, le nouveau Pixar/Disney a des accents mexicains, un monde coloré éblouissant et une histoire emballante, drôle et émouvante. De quoi enthousiasmer toute la famille, comme le confirme le comédien : « pour nous, les adultes, ce film nous parle aussi profondément, sur les liens de parenté, la famille, ce qu’on nous a transmis et ce qu’on transmettra… Â»

Propos recueillis par Laurence Kempf
L'interview

L'interview

Rencontre avec Lee Unkrich

Coco raconte l’aventure d’un petit garçon qui rêve de devenir musicien dans une famille où la musique est bannie. En retrouvant ses ancêtres le jour des morts, il va comprendre son histoire familiale et d’où vient sa passion. D’influence mexicaine, ce nouveau Pixar, très émouvant, est réalisé par Lee Unkrich déjà repéré avec Toy Story 3. 

" « L’histoire reflète la nature humaine, elle s’adresse à tous. Â» "

Quel a été le point de départ de ce nouveau film ?
C’est le Mexique qui nous a inspiré et sa fête du Dia des Muertos. Le thème de cette fête, la célébration de la place et de la mémoire de la famille, c’est la porte qui pouvait ouvrir sur le reste du monde. Il y avait là quelque chose d’universel, un potentiel pour une histoire pleine de cœur, belle, drôle, dramatique… Et si en plus les gens pouvaient découvrir la culture mexicaine, ça me plaisait aussi.
En célébrant le Mexique, vous allez à l’encontre des envies de mur de Donald Trump ?
On a commencé à travailler sur ce projet avant son arrivée au pouvoir. Mais on espère apporter quelque chose de bon au monde avec notre petit film. Pour nous, l’histoire reflète la nature humaine : elle s’adresse à tous sans idée de frontières, ni de barrière entre les cultures.
Coco fait référence à l’aïeule, vous l’aviez choisi comme titre dès le début ?
Quand on fait des films à Pixar, on donne toujours un nom de code, un nom de travail et celui du film était Coco. Parfois, le nom du code reste comme pour Toy Story ou celui-ci. On a choisi de le garder parce que c’était simple et qu’il y avait un côté énigme qu’on aimait bien : sa signification, son importance, on ne peut la comprendre qu’en voyant le film.
Avec l’expérience et le temps, qu’est-ce qui a changé dans votre travail ?
Je me sens plus confiant. Aujourd’hui la technologie est tellement avancée que quoi qu’on imagine on peut le mettre à l’écran, ce qui n’était pas le cas à mes débuts. Mais ça reste toujours aussi difficile d’être sûr de trouver et de raconter la bonne histoire, celle qui va parler aux gens.



Propos recueillis par Laurence Kempf
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