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Par Sara Laville, Clara Gagnou et Romain Dommange. Hypnagogia est un voyage aux frontières du réel et de l’imaginaire, comme un monde, niché dans un coin de tête. On croit y voir au loin une campagne modélisée, des montagnes crémeuses, des organismes floraux se développer pour atteindre des sommets colorés.

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Par Sara Laville, Clara Gagnou et Romain Dommange. Hypnagogia est un voyage aux frontières du réel et de l’imaginaire, comme un monde, niché dans un coin de tête. On croit y voir au loin une campagne modélisée, des montagnes crémeuses, des organismes floraux se développer pour atteindre des sommets colorés.

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Exposition issue de la bande dessinée S’il suffisait qu’on aime, chronique des années "PMA pour toutes" de Daphné et Julie Guillot, dans le cadre du Mois des fiertés.
Rencontre avec les autrices mardi 3 juin à 18h30


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En moins de deux heures, Hector Obalk fait un stand up en musique et en images sur l’histoire de la peinture occidentale accompagné de ses musiciens et d’un écran géant projetant des détails époustouflants.


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Ces femmes et ces hommes ne sont pas connu-es du grand public et pourtant, leurs œuvres ont bouleversé l’histoire de la musique. La bande dessinée Underground raconte les vies d’Eliane Radigue, Moondog, Colette Magny, Yma Sumac, The Residents, Patti Smith, Brigitte Fontaine, Lee Hazlewood, etc.

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L’exposition In silentio est l’histoire d’une rencontre, entre la plasticienne tisseuse Jeanne Vicerial et l’autrice philosophe Claire Marin. Qu’est ce qui s’exprime dans le silence ? Qu’est-ce qui se dit, et ne se dit pas, devant les sculptures textiles de Jeanne Vicerial, des figures puissantes et énigmatiques.


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Capucine Pageron imagine des scènes comme des tableaux qu’elle compose en céramique. Elle traite le volume par modelage spontané et les surfaces à la manière d’une peinture, en exploitant la palette de nuances, de textures, de transparence qu’offre l’émail.

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Deux silhouettes anonymes prennent d’assaut la façade d’un immeuble et la colonne Louis XVI en défiant toute logique gravitationnelle.


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De près de 17 m de long, la sculpture prend la forme de coques de bateaux retournées, faisant écho au passé de la ville, l’un des plus anciens ports de France. Réalisées en métal, les armatures de ces coques dessinent les lignes de ce squelette qui apparaît à la fois humain, animal et naval, jouant de l’hybridation des formes du vivant, au cœur du travail de l’artiste.


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Pour la place Royale, il imagine une « mise à jour » de la fontaine où quatorze figures hyperréalistes de Nantaises et de Nantais contemporains remplacent les allégories du XIX^e siècle. Les statues d’origine sont déplacées sur la place et mises en scène dans une structure évoquant les réserves muséales, créant ainsi un dialogue entre passé et présent.


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