C'est quoi ? Un coffee shop à l'anglo-saxone avec tout ce qui va avec. Pourquoi y aller ? On vient ici pour le petit-déjeuner, pour déjeuner, pour un café ou une patisserie. Emmanuelle et Marlyse ont ouvert en août ce lieu ou tout est fait maison "sauf les glaces et la pate feuilletée". On commande au comptoir puis on se régale des tartes, bagels ou sandwichs du jour. Le meilleur étant peut-être pour le dessert avec cheesecakes, cookies, muffins accompagnés d'un café fraichement torréfié.
Un espace gourmand polymorphe comme il aime à se définir offrant, 3 ambiances, 3 couleurs, 3 fonctions : Brasserie (bleu) feutrée, Bistrot (rouge) convivial et Bar (blanc) épuré. Ouvert de 8h à minuit pour toutes les envies du jour et de la nuit. Cuisine fraîche et savoureuse.
C'est quoi ? Le rendez-vous des amis sur le port de Piriac. Pourquoi y aller ? Au-delà de l'hôtel et de la simplicité de la cuisine, c'est l'endroit où il se passe toujours quelque chose. Si vous ne tombez pas un jour de fête ou de soirée décalée, il y a fort à parier que l'ambiance à la cool sera quand même au rendez-vous.
Une pause idéale, avant une visite du Musée d’arts, mais surtout un lieu très prisé par une clientèle conquise par le cadre prestigieux, l’originalité et la précision des propositions (tout est frais, fait maison et parfaitement réalisé). Outre le Salad Bar, le ruissellement de pâtisseries du buffet sucré, les plats chauds et les petits bijoux multicolores salés disposés sur le comptoir, on a aimé les huîtres et le poisson du jour accompagnés d’une coupe de prosecco (stylé !). Brunch le dimanche de 11h à 15h.
C’est quoi ? Caviste, bar à vins et “petites nourritures". Pourquoi y aller ? Amateurs de vignerons attentifs à la nature et valorisant leurs terroirs, le Rouge Bouteille est pour vous. Installé sur la place Zola, désertée une fois toutes les banques et Picard fermés, cet endroit est plus que sympathique. Vous pourrez également y déjeuner (tartines) et y déguster, à l’heure de l’apéritif, de la charcuterie, des fromages, des produits de la mer…
C'est quoi ? Un restaurant les pieds dans le sable sur la plage du Nau, au Pouliguen qui séduit par sa simplicité. Pourquoi y aller ? Parce qu'il n'y a pas besoin d'enfiler son blazer du yacht-club pour s'asseoir en terrasse du bungalow joliment aménagé par Arnaud trouvé. Une cuisine de vacances est au rendez-vous (rilletets de sardines, club sandwich ou tataki de thon) et toujours une clientèle d'habitués séduite par l'ambiance bon enfant.
Une cheffe difficile à étiqueter… mais ils sont nombreux à ne pas vouloir être labellisés parce que leur parcours est souvent trop atypique. C’est le cas de Lucie Berthier-Gembara passée par des études commerciales, après des études littéraires, avant que son fort attrait pour la cuisine ne la pousse à s’inscrire à l’Institut Paul Bocuse. Quelques années auprès de Luc Filoé, Gérald Passedat, Alexandre Mazzia et un bébé plus tard, la revoilà à Nantes aux commandes de Sépia. Un clin d’œil à l’encre que projette la seiche, mais surtout à son grand-père avec lequel elle allait pêcher ce mollusque marin, dont le liquide noir colorait le riz, les pâtes. Rien d’étonnant, non plus, si l’on retrouve des ingrédients méditerranéens (plutôt du bassin levantin) dans sa cuisine d’humeur, précise, malicieuse, et d’une fraîcheur indéniable, à tous les sens du terme ! À goûter absolument quelques-uns de ses « traceurs », l’œuf à 64 degrés, le blé fumé freekeh et les desserts à… l’encre de seiche !
C’est quoi ?
Une bonne table les pieds dans l’eau. Pourquoi y aller ?
Ok, chez Hervé et Zita, on est ouvert toute l’année. Pour autant, on ne va pas se mentir ; on vient au Zagaya aux beaux jours.
À la nuit tombée, le restaurant, dont on salue la simplicité de la carte (tartare de saumon, huîtres de Bretagne, pavé de cabillaud en croûte de chorizo…), est l’endroit rêvé pour un dîner à l’écart du brouhaha.
Évidemment, pensez à réserver.
C’est une nouvelle adresse bistronomique qui promet. À la place des Enfants Terribles, le chef Richard Cornet a repensé le lieu tout en bleu et blanc. Dans l’assiette, des produits locaux travaillés avec une belle pointe de créativité. Maquereau du Croisic fumé / carotte wasabi / bouillon ou terrine de cochon et foie de veau bio en entrée. Porc mijoté à l’anis façon japonaise et le dessert poire / pain d’épice / sarrasin. Et, la réhabilitation de l’aménité avec ce sens de l’accueil et les attentions qui vont avec, tout au long du service.