Au bout du conte... Un conte à compter !
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Dans son spectacle, Harold revendique la joie d’être triste, nous raconte l’enfer des sorties scolaires et nous dévoile que la déception commence toujours par un clin d’œil.
Mais au fond, une seule question demeure : où est Max ? Et, surtout, où est l’anxiolytique ?
Stylien est un gentil boomer courageusement égocentré, qui ne comprend pas tout ce qu’il se passe aujourd’hui.
Quant à ce qu’il s’est passé les 40-et-quelques premières années de sa vie (ressenti 28), il n’en est pas sûr : Il est temps pour lui de faire un point ! « . » voilà.
Dans son spectacle, Harold revendique la joie d’être triste, nous raconte l’enfer des sorties scolaires et nous dévoile que la déception commence toujours par un clin d’œil.
Mais au fond, une seule question demeure : où est Max ? Et, surtout, où est l’anxiolytique ?
Stylien est un gentil boomer courageusement égocentré, qui ne comprend pas tout ce qu’il se passe aujourd’hui.
Quant à ce qu’il s’est passé les 40-et-quelques premières années de sa vie (ressenti 28), il n’en est pas sûr : Il est temps pour lui de faire un point ! « . » voilà.
Dans son spectacle, Harold revendique la joie d’être triste, nous raconte l’enfer des sorties scolaires et nous dévoile que la déception commence toujours par un clin d’œil.
Mais au fond, une seule question demeure : où est Max ? Et, surtout, où est l’anxiolytique ?
Stylien est un gentil boomer courageusement égocentré, qui ne comprend pas tout ce qu’il se passe aujourd’hui.
Quant à ce qu’il s’est passé les 40-et-quelques premières années de sa vie (ressenti 28), il n’en est pas sûr : Il est temps pour lui de faire un point ! « . » voilà.
Dans son spectacle, Harold revendique la joie d’être triste, nous raconte l’enfer des sorties scolaires et nous dévoile que la déception commence toujours par un clin d’œil.
Mais au fond, une seule question demeure : où est Max ? Et, surtout, où est l’anxiolytique ?