Fiston
Depuis qu’il a 7 ans, Alex n’a qu’une obsession : séduire Sandra Valenti, la plus jolie fille d’Aix en Provence et, à ses yeux, la plus jolie fille du monde. Aujourd’hui, il lui faut un plan infaillible pour pouvoir enfin l’aborder. Il décide de s'adjoindre les services d'Antoine Chamoine qui presque 20 ans auparavant, a séduit Monica, la mère de Sandra.
De Pascal Bourdiaux, avec Kev Adams, Franck Dubosc, Valérie Benguigui, 1h28, France
Horaires du 30 Avril au 6 Mai
L'interview
Dans Fiston, comédie romantique dans laquelle se retrouvent deux générations de comédiens, Kev Adams décroche son premier grand rôle au cinéma.
Fiston fonctionne sur la complicité que vous entretenez à l’écran avec Franck Dubosc. Celle-ci a-t-elle été immédiate ?
Nous nous sommes tout de suite dit que Fiston allait être un excellent film. Et il était évident pour tout le monde qu’il fallait que ça soit Franck qui incarne le rôle. C’est le genre de film qui ne marche uniquement si la sincérité des deux acteurs est bien réelle.
Même s’il y a eu Les Profs, Fiston est votre premier grand rôle au cinéma. L’enjeu est-il important ?
Le cinéma est très différent de la scène. Honnêtement, je ne vais pas vous dire qu’aujourd’hui, je suis un acteur. C’est pour cela que j’avais besoin d’un comédien de ce niveau de jeu face à moi. Après, succès, pas succès, qu’importe finalement.
En dirigeant deux acteurs comme Franck Dubosc et vous, le réalisateur Pascal Bourdiaux a-t-il eu une marge de manœuvre ?
Pascal a amené son truc à lui. Ce n’est pas un réalisateur qui se laisse faire. Il savait choisir. Il voulait raconter cette histoire-là. Pour toutes ces raisons, ce n’est pas un faiseur.
Propos recueillis par Arnaud Bénureau