Une comédie survitaminée drôle et décalée.
Entre Ablaye Cissoko et Cyrille Brotto, la complicité est immédiate, c’est cette amitié et cette curiosité de l’autre que l’on entend dans leur album, chacun adapte sa technique aux codes et aux clés de l’autre.
Le ballet « Giselle(s) » tire sa puissance dans la théâtralité et la richesse de leur chorégraphie. Cette vision féministe du ballet romantique est à l’image des tensions hommes - femmes au sein de notre société. Il ne s’agit plus de Giselle, mais de toutes les Giselle(s) victimes de trahison.
Comédie de café-théâtre. « Les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu’on les reconnaît. » Michel Audiard. Pauline aurait dû se souvenir de cette célèbre réplique lorsqu’elle a demandé à Nathan, son collègue de travail, de se faire passer pour son petit ami à un repas de famille.
Artiste allemande installée à Nantes, Barbara Zimmer joue ses compositions avec deux musiciens qui accompagnent son univers musical aux multiples inspirations. Pour ce concert, les choristes de Retz'Cital rejoindront le trio sur scène. Une douceur musicale à découvrir.
« 1975 » 8e album de Malted Milk, est à la fois le reflet intime de la personnalité d’Arnaud Fradin et le témoignage de la cohésion d’un groupe qui traverse les années en se renouvelant avec brio, avec un sens précis du groove. Un cocktail énergique et riche d’influences blues, soul, funk, rock, folk et disco.
Sous la direction de Vincent Morinière, l’OH-N149 vous invite à une immersion sonore sur le continent africain à travers un programme éclectique et évocateur.
Préparez-vous pour une aventure musicale vibrante aux couleurs de l’Afrique !
Adulte : 10€ ; 12/18 ans : 8€ ; Gratuit – 12 ans
Une comédie survitaminée drôle et décalée.
Pour ce concert, Le Symphonique des Bords de Loire vous propose de découvrir un programme autour du Concerto pour violon n°1 de Max Bruch accompagné de plusieurs oeuvres qui vous feront voyager entre Europe et Amérique.
Comédie de café-théâtre. « Les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu’on les reconnaît. » Michel Audiard. Pauline aurait dû se souvenir de cette célèbre réplique lorsqu’elle a demandé à Nathan, son collègue de travail, de se faire passer pour son petit ami à un repas de famille.
