12e Floralies Internationales

1 - Les orchidées du jardin du Luxembourg
Ça n’est pas une rupture avec le classicisme mais c’est un rendez-vous avec des beautés rares. Loin des multiples stands qui multiplient les orchidées que chacun pourrait trouver dans tous les commerces, la présentation des orchidées du Jardin du Luxembourg réunit une centaine de variétés. Rappelons que la collection du Sénat reste inaccessible au public.
Grand Palais La spiritualité stand 19.
 
2 – Les roses du Japon
Dans le pavillon “Plénitude”, on retrouve pour la première fois les roses Wabara, produites près de Kyoto par Keiji et Ken Kunieda. Ils créent de nouvelles variétés dans une approche modrne de la rose. Le stand est dessiné par le paysagiste français Guillaume Gosse de Gore. Japon toujours avec une présentation d’ikebana séduisante.
Wabara, Hall 4, stand 2 ; ikebana, sous-sol du Grand Palais.
 
2 – Féerie numérique
Si l’on regrette qu’il n’y ait pas de projections au sol comme à l’Atelier des Lumières à Paris, un tunnel de 700 m2 au sous-sol du grand Palais propose une boucle de 30 minutes de projections sonores. Une immersion parmi les fleurs, les fontaines, les variations autour du thème, comme un regard posé sur le design numérique qui pourrait renouveler les Floralies.
Design végétal et numérique, sous-sol du Grand Palais.
 
4 – Angers en vedette
Si les entreprises et pépiniéristes se font rares, on retrouve - au-delà des stands de pays - les collectivités locales. À l’opposé du classicisme de Saint-Jean-de-Monts et Les Sables d’Olonne, la Région étonne avec un stand à livre ouvert. Nantes explore milieux arides et tropicaux mais Angers joue la carte de l’innovation  avec un espace interactif dans lequel des circuits informatiques nourrissent un arbre central. Bluffant !
Design végétal et numérique, sous-sol du Grand Palais (en face du tunnel numérique).