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Snowpiercer, Le Transperceneige

Snowpiercer, Le Transperceneige
Snowpiercer, Le Transperceneige
Snowpiercer, Le Transperceneige

2031. Une nouvelle ère glaciaire. Les derniers survivants ont pris place à bord du Snowpiercer, un train gigantesque condamné à tourner autour de la Terre sans jamais s’arrêter. Dans ce microcosme futuriste de métal fendant la glace, s’est recréée une hiérarchie des classes contre laquelle une poignée d’hommes entraînés par l’un d’eux tente de lutter. Car l’être humain ne changera jamais…
De Bong Joon Ho, avec Chris Evans, Song Kang-Ho, Ed Harris, 2h05, Corée du Sud

Horaires du 24 au 30 Avril

Avis rédaction

L'avis de la rédaction

Le pitch ?
2031, la terre connaît une nouvelle ère glaciaire. Réunis à bord d’un train, quelques hommes tentent de survivre. Mais les plus misérables d’entre eux vont se révolter.
Verdict ?
Première production internationale de l’excellent réalisateur coréen Bong Joon Ho (Memories of murder, The Host), Le Transperceneige est un film de science-fiction attractif et efficace dans lequel on retrouve le mélange de noirceur, d’humour, de violence et d’humanité, propre à l’univers du cinéaste.

L.K.
L'interview

L'interview

“Réécrire l'histoire à ma façon”

Bong Joon-ho réalise sa première production internationale. Avec l'adaptation de cette BD française éponyme, le meilleur cinéaste coréen en activité ne perd rien de son talent.

Était-ce une adaptation difficile à faire ?
L'important est de saisir l’esprit de l’œuvre originale : le retour à l’âge de glace, le train comme décor principal et la lutte des classes de ses occupants. À partir de là, je pouvais réécrire l’histoire à ma façon. Et la BD, avec ces paysages de désolation enneigés, a été une vraie source d’inspiration graphique.
Peut-on voir Curtis comme un antihéros ?
La culpabilité et la honte sont les composants essentiels de son tempérament, personnage qui inspire de la compassion. Son corps se bat et va de l’avant, mais son cœur reste prisonnier du passé et des larmes. Curtis porte le récit à bout de bras, mais c’est peut-être Nan le vrai héros.
Dans tous vos films, il y a un mélange des genres avec des moments sombres, d’autres comiques…
C’est dans mon caractère. Dans les situations les plus compliquées, j’ai tendance à voir quelque chose de très comique.
Il y a aussi une violence crue, physique…
La violence était une évidence par rapport à la promiscuité, à l’espace confiné du train. Les méthodes de combat sont très primitives. C’est un film de science-fictio. L’action se déroule en 2031, mais ce train erre depuis 17 ans. Il est question d’usure, d’extinction. Il y a un retour en arrière dans la façon de vivre des gens, la civilisation.



Propos recueillis par Laurence Kempf
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