Face aux crises environnementales, sociales et sanitaires actuelles, le Passage Sainte-Croix se veut un lieu de réflexion, de contemplation et d’engagement vis-à-vis des fragilités. "Fragiles dans un monde fragile" met en lumière les forces et les limites des fragilités tout en valorisant ceux qui agissent pour les soutenir.
Julie C. Fortier s'intéresse au cheminement de la mémoire par l'exporience sensorielles. Ses œuvres (parfums, tapis, scuptures) sont traversées par un souvenir, une sensation.
Une partie historique est consacrée à l'art de la parfumerie à Nantes.
De l’art optique à l’art numérique.
De Vasarely à Ikeda en passant par Morellet, explorez l’histoire de l’art optique jusqu’à l’art numérique, des années 60 à nos jours. Peintures, dessins générés par ordinateur, sculptures, vidéos et installations numériques…
« Pour toi, c’est quoi habiter ? » L'exposition témoigne de la poésie et de la diversité des approches de celles et ceux qui pensent notre cadre de vie. Elle rassemble des visions riches tantôt construites, tantôt esquissées, tantôt ancrées dans le réel, tantôt utopiques.
Lieu : Maison régionale de l’architecture des Pays de la Loire, Nantes
Dates : Jusqu'au samedi 14 juin 2025
Peinture
Matière lumière / Lucile Chamaux
Lucile Chamaux puise son inspiration dans la nature. Ses peintures sculptées donnent corps à des empreintes et des textures, inspirées par le feu, la lave et l’écorce. L’artiste propose une plongée vers la matière, où l’arbre devient une icône abstraite.
Exposition personnelle de Gaël Darras
Vernissage en présence de l'artiste : Jeudi 24 avril de 18h à 21h
Gaël Darras construit à l’aquarelle des espaces architecturés, des murs, des motifs, des illusions d’optique… qui peuvent rappeler une antiquité lointaine autant qu’ils évoquent nos maçonneries contemporaines.
Cette exposition sur les parfumeurs nantais poursuit et complète l'exposition Retenir ton odeur de Julie C. Fortie. Elle permet d'en redecouvrir les marques les plus conues : Sarradin, Biette, Bertin et Roux.
Cécile Thomas, dans cette exposition de plus de 45 millions de points brodés, nous fait ressentir le temps consacré à cette réalisation. Ce travail pose une question essentielle : dans un monde où l’image est instantanée et omniprésente, quel est le temps que nous accordons à nos propres activités ?