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Le Général Cambronne, statue emblématique de Nantes, peut pleinement profiter de ses deux mois de permission. Durant cette édition du Voyage à Nantes, le public peut contempler une copie conforme de ce grand général se pavanant sur les terrasses de la Cigale et profitant pleinement du soleil nantais. À l'origine de cette œuvre, un certain Olivier Texier, le dessinateur de bande dessinée nantais a voulu à travers ces œuvres redonner vie à ses statues, en les libérant de leur posture initiale.


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Cette sculpture de 5 mètres de hauteur, aux allures dystopiques, représente un croisement de l'homme, d'un monstre et d'un robot. Thomas Houseago, artiste peintre, est à l'origine de cette œuvre. Du fait de son envergure, elle nous donne une impression d'impuissance et de vulnérabilité. Dans chacune de ses œuvres, l'artiste cherche à éveiller et interroger le publlic sur la violence de notre monde et de notre quotidien. L'œuvre prend également appui sur de nombreuses références artistiques, anciennes et contemporaines, évoquant les statues grecques, africaines ou bien Picasso.                                                                                                                               

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Le Voyage à Nantes se pose Jardin des Plantes afin d'y voir cette sculpture acquise par le Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris.
Qui d'entre-nous, n'a jamais été intrigué par la posture que tiennent les mouches quand elles meurent ? 
À la fois, drôle, troublant ou bien inquiétant, malgré sa petite taille, la mouche nous pousse à réfléchir.




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Cette sculpture de Sanam Khatibi représente une grande déesse de 5 m de haut. Une géante, nue, qui semble surgir des eaux de la Sèvre.
Cette œuvre ne manque pas d'interroger le visiteur.


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À Nantes, quel autre endroit choisir que la fontaine Place Royale afin de faire l'éloge de la mer et de la faune aquatique ? Surplombée par Amphirite, déesse de la mer, la place accueille quelques compagnons le temps du Voyage à Nantes. Pas moins d'une vingtaine de statues, d'1 à 2 mètres de haut dans le bassin. Maen Florin, la sculptrice à l'origine de ces sculptures, a souhaité transmettre une image nouvelle d'un monde en pleine transformation. Elle a choisi de mettre en avant ces créatures, symbolisant les mutations engendrées par l'Homme sur les milieux aquatiques.

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À travers ces sculptures de l'artiste belge Maen Florin, celui-ci a cherché à placer la représentation humaine au centre de son œuvre.L'artiste est allé puiser son imagination dans des univers tels que la Commedia dell'arte, afin d'en extraire et d'en concevoir des personnages marginaux. Quatre personnages sont représentés : Performer, Whitewashed, Soutine ainsi que Black Beard. Ces sculptures reflètent une mélancolie cachée derrière ces yeux fermés : ambivalentes, à la fois monstrueuses et belles, et fortes autant que fragiles.

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En s'inspirant de l'architecture, de la géologie ainsi que de l'histoire de l'art, Marion Verboom y rajoute son empreinte unique. Le fruit du mélange de ces deux domaines donne naissance à des sculptures jonchées de motifs puisés sur l'église Sainte-Croix. Ces motifs sont ensuite entassés sous forme de colonne composées de chapiteaux mérovingiens, les pattes d'un sphinx, une chevelure,... Ajoutons à cela une touche de couleur made in Verboom, à base de couleurs pastel ou bien nacré, et vous obtenez ces mêmes sculptures qui seront à retrouver au Jardin et au Passage Sainte-Croix, durant l'édition du voyage à Nantes 2023 !

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Dix-neuf statues prennent d'assaut la rue d'Orléans pendant cette édition du Voyage à Nantes. Une œuvre de douze mètres de long pour cinq mètres de haut, composée de copies de statues grecques telles Athéna, Poséidon ou bien encore Apollon. Posées à même le sol, ces statues donneront du rythme à cette rue fermée à la circulation pour l'événement.

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Théo Casciani interroge le devenir des œuvres dans le monde d’après, entre dystopie et multiverse, en transformant le site nantais du Frac en un espace autre, à la fois manufacture, laboratoire et data-center.

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