L'idéal Club
Par la Cie 26 000 couverts. L’objectif de L’Idéal Club est clair : nous faire rire de tout et de rien. Installés à la bonne franquette sur des bancs ou des coussins, vous assisterez à une succession de numéros de cabaret déjantés, dans une ambiance oscillant entre satire absurde, poésie brute et burlesque dévastateur.
Sous chapiteau.
- Dimanche 8 décembre 2013 à 17h00
- Lundi 9 décembre 2013 à 20h00
- Mardi 10 décembre 2013 à 20h00
- Mercredi 11 décembre 2013 à 20h00
- Vendredi 13 décembre 2013 à 20h00
- Samedi 14 décembre 2013 à 19h00
- Dimanche 15 décembre 2013 à 17h00
- Lundi 16 décembre 2013 à 20h00
- Mardi 17 décembre 2013 à 20h00
- Mercredi 18 décembre 2013 à 20h00
L'interview
Pendant dix jours non-stop, les 26000 Couverts installent leur Idéal Club au Grand T et font souffler un vent de folie sur le music-hall. Le metteur en scène Philippe Nicolle nous en dit davantage sur ce spectacle hors normes.
Il paraîtrait que L’Idéal Club soit un spectacle juste pour rire. Qu’est-ce que cela signifie-t-il ?
Aujourd’hui, il est difficile de traiter de la légèreté, de travailler légèrement. Les spectacles doivent délivrer un message, donner des injonctions à suivre. En ce sens, L’Idéal Club n’est pas un spectacle philosophique animé par des règles conceptuelles, mais un spectacle où l’on tourne autour et au-dessus de la notion d’idéal.
Il ne s’agit donc pas d’un spectacle mineur…
Ah non ! Je mets la légèreté au sommet. Et le rire ne supporte pas la médiocrité.
Cet Idéal Club est-il vraiment si barré ?
C’est ce que j’entends et je le prends comme un compliment. Mais, c’est notre quotidien, notre délire habituel. Nous vivons une époque tellement grise et fermée que nous nous devons d’être ouverts, fous, poétiques et dingues.
Ce n’est finalement donc pas un spectacle à part dans la vie des 26000 Couverts ?
Ça va paraître prétentieux, mais tous nos spectacles sont à part. À chaque fois, je veux inviter le public à un voyage différent. Et là, il se retrouve au sein d’un club dont le fil rouge est un idéal à poursuivre.
Propos recueillis par Arnaud Bénureau